erre-revie

finnegans wake
Ci la fin. Comme avant. Finn renaît ! Prends. Hâte-toi, enmemémore-moi ! Jusqu’à ce que mille fois tes. Lèvres. Clefs de. Données ! Au large vire et tiens-bon lof pour lof la barque au l’onde de l’ […] erre-revie*, pass’Evant notre Adame, d’erre rive en rêvière, nous recourante via Vico par chaise percée de recirculation vers Howth Castle et Environs.
PARIS,
1922-1939.

p.924-19
Finnegans Wake
James Joyce
Editions Gallimard, Folio an 1982

*riverrun, premier mot s’enchaînant sur le dernier du livre, annonce la nature de Finnegans Wake, qui n’est qu’un chant (amhran, prononcer « averâne » en gaélique) et un souvenir (erinnern). C’est la rivière de la vie, Liffey, que Joyce décompose en life et fay. La renaissance du livre ambitionne une réincarnation de son auteur à travers son lecteur.

FOURAS,
20-29 juillet.

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