Sayat Nova – Paradjanov – 1969.
Difficile de se réjouir d’images censurées et pourtant quel miracle de voir ce qu’on n’avait jamais vu.
On pensait connaître ce film par cœur.
Le cœur est grand, il peut en accueillir, encore et encore.
« Le premier récit commençait par ce plan, l’enfance du poète. »
« En même temps que la vérité de l’esprit, il découvre la vérité de la chair, la fête d’un corps chaud. »
« Ici, entre les murs du monastère d’Aghpat qui se dressent sur les hauteurs, il acquiert un nouveau métier, celui de prêtre.
Il baptise, il enterre, il marie. »